édito

Money, must be funny...

Hello,

Le fric! La rengaine de cette rentrée; voici des semaines qu'on nous bassine chaque jour avec des catastrophes encore pires que la veille. Hier portés aux nues, les traders goûtent désormais à la soupe à la grimace. Une soupe même pas tiède et que tous les Etats tentent de réchauffer coûte que coûte.

Money, money, money,
Must be funny,
In a rich mans world,

32 ans après, les 3 premières phrases du refrain n'ont même pas pris une ride! Les pauvres, ils verront leur bonus réduit de 50% et leur patron sauter avec des parachutes argentés ou au pire bronzés... Même dans son éditorial d'octobre, Stéphane Benoît-Godet - rédacteur en chef de Bilan - a frôlé le 3ème degré face à cette situation en la décrivant comme un «dîner de cons à Wall Street»; où va-t-on?

Ressent-on aussi cette crise quand, à la fin de chaque mois, son compte flirte avec la couleur rouge? Combien d'étudiants sont systématiquement en négatif? Que faire lorsque l'accumulation des petits jobs ne suffit même plus à faire face aux dépenses quotidiennes? Combien d'entre eux achèvent leur formation avec une dette de plusieurs dizaines de milliers de francs?

Les préoccupations financières planétaires auront-elles des incidences sur notre quotidien? Faut-il vraiment s'attendre au pire? Quelles sont les solutions pour ne pas tomber dans le piège du surendettement?

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